Des manteaux fabriqués à partir de mauvaises herbes… du Québec!
La belle histoire de l’asclépiade continue. Dernier épisode en date : le manufacturier québécois Quartz Co. lance une nouvelle collection de manteaux d’hiver urbains fabriqués avec ce qu’on appelle aussi « la soie d’Amérique », après avoir déjà commercialisé quelques articles l’hiver dernier.
Longtemps considérée comme une mauvaise herbe, l’asclépiade est une plante aux propriétés étonnantes : cette fibre végétale très légère est hydrophobe et dotée d’une grande capacité isolante et thermique.
En 2016, l’alpiniste Jean-François Tardif avait testé des manteaux et une couverture fabriqués en asclépiade sur les flancs de l’Everest. S’il n’avait pas pu atteindre le sommet en raison d’un œdème pulmonaire, il a avoué qu’il avait eu par moments trop chaud, notamment par –22 °C.
L’asclépiade est cultivée, récoltée et transformée au Québec, puis commercialisée par Monark, une coopérative de producteurs agricoles établie en Mauricie.
Les manteaux de Quartz Co. sont vendus exclusivement en ligne sur le site d’Altitude Sports : altitude-sports.com